Une représentation bizarre : un personnage à tête de crocodile ?

Certains vont préférer la plage, ils feraient mieux d'aller aux maldives où il n'y a rien à voir et pas de crocodiles.

Ces fourmis à abdomen vert sont des fourmis "couturières", elles découpent les feuilles et les "cousent" (1ère photo) afin de faire leur refuge. les contorsions des palmes de vacoa (pandanus). puis je reconnais un chien assis, et vous ? et sur la plage une herbe à "échasses", un spinifex, peut-être spinifex littoreus

A la fin, observation de chitons, de murex de roche, et pour clôturer ce bel après-midi un coucher de soleil très rouge, mais sans le rayon vert que nous espérions apercevoir.

On reconnaît un oiseau (?), des crocodiles, peut-être une tortue, un kangourou (avant dernière photo). après ces peintures wandjina, nous changerons de zone, comportant un autre style pictural.

Superbe paysage lors de la descente (à la montée nous n'avions pas pu l'apprécier) malgré sa dangerosité, qui a, toutefois, provoqué un petit accident, sans trop de gravité, pour une dame ayant chuté dans les rochers. nous allons ensuite nous déplacer vers un autre site d'art rupestre très différent, le gwion gwion.

Le 26 février 1942 cet avion effectuait un vol entre perth et broome, mais après que le pilote se soit perdu, il est tombé en panne de carburant et a dû se poser en urgence sur le marais. l'équipage et les passagers ont été secourus par un hydravion commercial quelques jours plus tard.

Malgré sa peur (des serpents), sur le sentier madame a bien voulu passer devant moi pour des photos. une guide, sarah, était là pour nous présenter les peintures. mais un second guide, lui aussi, nous en a présenté une. le selfie n'est pas un selfie ... deux photos, montées avec difficulté car la seconde n'a pas été prise tout à fait de

Depuis le navire, on aperçoit de nombreux feux de brousse allumés par les aborigènes afin d'éviter des incendies non maîtrisés bien plus destructeurs. nous traversons un marais salé à sec en cette saison, traversée très pénible vu la chaleur torride ! quelques palétuviers survivent en bordure. leurs feuilles recrachent le sel, absorbé